الجمعة، 25 أبريل 2008

PROSE : Vertige et évasion au summum de la civilisation


PROSE : 
      Vertige et évasion au summum de la  civilisation  
 
 120908
 
 * Par : AROUB MOHAMED
 
                 -1-
            Pareils à peu prés à une girouette 
 ,docile
       tournant en changeant à chaque instant de
       rythme et de position, nos efforts
 ,colossaux   
notre sueur déversée sur le sable, et notre
    engagement avec abnégation crient d’abord très fort, épuisent leurs énergies, puis murmurent doucement leurs thèses bafouées, en prescrivant si tôt leurs
 .testaments blancs 
     Ainsi de quel coté que nous envisagions la
      réalisation identitaire ; nous ne pourrions
      échapper au teint caméléon, tout réfléchir, tout effacer
           
   A part la surprise de la différence à peine 
   puiser la spécifié nuancée, qu’est ce que
    !exister 
 
       Et qu’est ce que laisser faire le stress et la
       nausée artificiellement tracés selon le prestige de l’étranger 
               
   Et nous demeurions téléguidés et ballottés,
    .alors que nous croyons être nous même
 
    Notre grand   passage   risque   tout   entier
    d’être emballé dans des carrés de Gervais bien tracés  et   contrôlés ; à peine gercés  et
climatisés exactement comme le stipulent les
  pressions   atmosphériques du moment, sans
   jamais indiquer le nord acculés uniquement à
   suivre la direction elle même instable de la
    .dernière rafale du vent
 
        Et rester spectateur de   ces   larges nappes garnies de plats vides et de    gigantesques menteurs promesses et rien  que …des  promesses
               
                       -2-
 
        Nos projets d’avant garde, et même notre
        ,humeur   gaie et   perspicace de   nature   se convertissent par méconnaissance en simples plaintes finissant par se noyer dans les vagues des événements instantanément conditionnées,sous la pitié et le gré des  ,cyclones Insensésd’ailleurs et d’ici
.qui surgissent juste pour se dérober    
 Ne seraient-ils pas des flèches contrariant
     Nos aspirations constamment dressées, aux
  seuils des prérogatives indiquées et le modèle
      …cheminement du vertige et de l’évasion
                  
                                    -3-    
              Notre bruit enroué ne raisonne pas plus que le claquement aphone d’une sèche feuille
 dans sa chute libre, faisant semblant de
,voltiger
  miroite un instant en l’air ; ne tarde de
   descendre pour rejoindre le sol et compléter le
    tableau des archives d’une autre même
.couleur tendant vers le sombre 
   Et parallèlement aux réédition des vaines volontés précédentes, leur tour nos leaders quoique devraient rester fidèles à leur initiales couleurs qui les a élevés nous gonflent des bilans plus gros que leurs têtes et des projets sur papier sans nombre, seproclamant les seuls capables d’arrêterl’ouragan des acrobaties 
 .administratives insensibles au changement
 
                     -4-
     A part le positionnement sur les mêmes
     ondes de  toutes nos forces vives mais
    marginalisées ! Sur l’estrade et dernière les
    coulisses ; On ne pourrait tenir face à l’invasion planétaire de notre marche, voir même
.de notre mode de rêver et de penser  
       
    L’existence est une œuvre grandiose
  et pas toujours  saisissable, où nous ne
    sommes que des répétitions mais nuancées à
    l’extrême grâce à l’espace large et
      !impartageable de l’intention 
 
 
        ,Nous sommes confrontés   à notre sort
      né du   moindre dernier   élan   réactionnaire, comme ces vagues absurdes et concentrant l’essence de la vie dont l’écho et la forme uniques manifestent leur révolte à deux
 .tranchants
 
   …Auteurs aux champs limités
  contraints à conclure leurs dramatique
   pièces par s’écraser contre les rivage de
     l’oubli, sauf une poignée de bonnes volontés
    bien attachées aux racines de la foi
 inébranlable éclairant la conscience et
…purifiant le cœur
 
 Il n’y a qu cela qui compte en fin de
  compte, sentir et délecter à bon escient les
                   faveurs diverses nettement évidentes
offertes à foison par le créateur,   c’est
    pourquoi toute erreur est excusable, à part
celle de ne pas y croire!
   Que   pourrions- nous déchiffrer du
                   cadran du temps !
 
                     -6-
       Seule une pendule infaillible dispense
       ou suspend le temps au plafond de l’absolu,
        l’enchaîne ainsi coulant à un moment
         .déterminé ou même à l’infini
 
       L’existence est une œuvre grandiose et pas toujours
  saisissable, ou nous ne sommes que des
        répétition, mais nuancées à l’extrême
      grâce à l’espace large et impartageable de
       !l’intention 
 
      ,Nous   sommes confrontés à notre sort
       ,né du moindre dernier élan  réactionnaire
       comme ces vagues absurdes et concentrant
      l’essence de la vie dont l’écho et la forme
uniques manifestent leur révolte à deux
  .tranchants 
 
    …Auteurs aux champs limités
 contraints à conclure leurs dramatiques
  pièces par s’écraser contre les rivages de
     l’oubli, sauf une poignée de bonnes volontés
  bien attachées aux racines de la foi
   inébranlable éclairant la conscience et
    …purifiant le cœur
             
                     -8-
    Les trésors étalés à perte de vue
      juste à coté ; et de quelle manière que tu les
      .poursuives, ils s’éloignent plus de toi 
 
     Alors qu’en perdant l’ardeur de s’en
   réjouir et la chaleur de les avoir ; ils se
   rassemblent autour de ta proie, non pour te
    combler ; mais uniquement pour quémander
       un soupçon de ta confiance, si tu as
    l’intelligence de découvrir que l’élixir
        tellement  convoité, est ta personne et non  
   .ce que tu as
 
         -9-
           Et devant toi sur la scène que tu
        crois ; seulement tu crois…appartenir   aux
       géants ; la fausse impression de voir les
    autres parfaits te prend, et que le temps
    s’arrête tout entier aux seuils de leurs villas,
    alors qu’il est indifféremment, le même
     celui qui fuit toujours enrouillant les
   chronomètres, en brisant leurs cadrans, et
    en conservant intacte sa sacrée dimension
  …inconcevable à notre étroite perception
 
       L’invisible domine et tout ce que tu
   vois n’est qu’une fragile manifestation de
        l’absolu qui demeure, quand  rapidement ton  
    petit passage s’achève, et frôlement tu t’en
      …vas
 
       La question de la confiance est la
        .quintessence du message entre êtres 
 
   Celui- là même, que tu aimes, sème les
    grains du vertige dans le verger conscient
    .de ta culture 
 
      !Arriverait-il à  t’hypnotiser ou pas 
  c’est là que toute la problématique de pose ; y
  succomber ou pas, selon la force spirituelle
  .de moment 
 
  Aucune magie humaine n’annonce
   encre ou prouve le pouvoir d’asservir l’autre
   s’il persisterait lui- même et ne le veuille
 !pas   
 
                     -12 –
 
    La valeur éternelle du coté de l’esprit, 
 et la matière prend une forme accentuée
  pour prévaloir chez l’un sans y arriver chez
      l’autre
     Tous ces élèments réunis dans un
      même cops… comment vont-ils fondre 
     communiquer et créer 
!l’homogénéité               
  :La vapeur légère quoique s’élève  
les nuages à longueur de l’azur ont
.étonnement résisté 
    
     
  Et sous tes semelles tu écrases la poignante certitude, chacun a sa part de responsabilité dans l’étouffement suicidaire   
de la voix intérieure qui aurait chanté  la  
 . délivrance et la liberté 
 
                    -13 -  
 
            ! Marche ! Qui, boiteux et enragé
          …Se hâte vers sa fin prématurée
         ,Laisse –le mûrir, devenir blette            quand il découvrira tout seul l’attraction         … terrestre le délicieux fruit cédera 
 
Bouge ! Qui ose déranger les annales      
 !panoramiques de vains échos 
Parle ! Qui, fatigué de se taire ; voudrait 
! apprendre à chanter aux oiseaux  
 
Le gel et l’incertitude n’imprègnent que
    . lesvaques volontés   
 
Et la liberté palpite des ailes, quoique les 
.serres ligotées  
 
N’avez-vous pas honte de parler en  
! abstrait  
 
 Viveur à moitié mort ! Le dernier rayon du
 jour sombre pourrait amplement éclairer ta  convoitise, si tu ne rêves que voir en hâte 
 cette beauté fanée, sans scruter son secret       ni sacrer son pouvoir éveillant les sens ; que 
 !tu es tenu de maîtriser 
******************************    
Et le beau est là ! Partout où tu passes,              consternation oblige à celui qui l’a procrée de 
! nature. Mais toi œuvre à priori bien faite 
Qu’ajouterait ton orgueil déplace et ta mise 
à l’enchère du pouvoir du corps, au       
  … !déterminent des saines hautes facultés  
 
Dans une main la robe de noce, dans l’autre
se tisse déjà le linceul étroit ; tous deux 
 . blancs, aucune différence de fonction
 
Qui rapprocherait d’avantage ce couple             historiquement antagoniste, assis sur les          débris de son squelette, librement négocier
le temps perdu dans les pièges et les complots
! contre soi même 
 
On nous propose le tour du cercle ; et nous estimons nous distraire dans sa surface     …indéfinie, en attendant la délivrance du ciel 

———————————
 Poète depuis le bas âge, né à Sidi slimane*
En 1956. Enseignant de français à Sidi kacem
(Teroual).
.Ecris aussi des essais philosophique et socioloques